Reportage de l'Echo Républicain
Extrait :
Baptisé Demoichellec, il s'inspire d'un engin créé au début du XX e siècle. L'Ultra léger motorisé (ULM) électrique construit par des élèves de l'Institut universitaire de technologie (IUT) a décollé, hier, de l'aérodrome…
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Reportage de l'Echo Républicain
Reportage de France 3
Dimanche, une démonstration d'ULM électrique s'est déroulée à l'aérodrome de Chartres. L'appareil a été réalisé par des étudiants de l'IUT. Baptisé "Demoichellec" il s'inspire d'un engin créé au début du 20e siècle.
« Cahiers du RSA » n°284, p26
La propulsion électrique des aéronefs,
on en entend parler depuis déjà
quelques années. Pour l’instant, peu
de choses en vue, mais attendons la
suite. Dans cet article, je vous propose
de poser le problème, voir ce qui
existe et les projets en cours, et vous
présenter ce que nous réalisons à
Chartres…
Auteur : Bruno SOHIER
Reportage France 3 Centre
Reportage France 3 Centre durant les portes ouvertes de l'IUT de Chartres où notre Demoichellec était exposée.
Reportage Volez !, Charles DONNEFORT
Extrait :
Par rapport au secteur automobile, l’aviation connaît un certain retard en terme de motorisation électrique.
Mais des solutions existent cependant pour ceux prêts à abandonner le thermique.
Des ULM, tels que le Mistal et le Sirocco, se prêtent particulièrement bien à l’expérience, comme en témoigne
ce dossier, qui détaille les grandes étapes d’un projet d’électrifi cation, les équipements nécessaires,
les performances visées, les règles de sécurité à respecter… Un chantier d’envergure, mais qui peut en valoir
la peine : avec l’électrique, à vous la joie de voler dans un silence bienfaisant, et la satisfaction d’adopter
une technologie plus respectueuse de l’environnement !
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Reportage d'Info-Pilote n°690
Extrait :
La seconde est la "la Demoichellec" de l'IUT de Chartres, construite et mise au point sur une période de cursus universitaire, soit deux ans, par Bruno Sohier, professeur d'électronique et ses élèves. Le kit matière, puisque seules les nervures sont pré-découpées, a été fourni par l'APEV et la motorisation électrique développée en interne avec le soutien de Daniel et Michel Dalby: 22kW en pic, 15KW en continu, hélice VALEX de 2,04m qui tourne à 1200tr/min avec 40kg de batteries Li-Po pour une autonomie de 35 minutes. Les élèves ont aussi développé l'avionique et la surveillance des paramètres moteur.
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Reportage de Charles Donnefort pour Volez n°182
Extrait :
Après le succès de la Demoichellec (seconde du nom!) de l'IUT de Chartres, l'équipe des étudiants en GEII (Génie Electrique et Informatique Industriel) a fait voler le Pulmchellec pour la première fois le 7 juin. Pour ce premier saut de puce, l'appareil était piloté par Bruno Sohier, le professeur accompagnant les expériences de vol électrique de l'IUT.
L'appareil est un pendulaire très léger motorisé par un moteur Fourdan (Parawatt) de 15KW entraînant une hélice ULX en bois de 1,25m de diamètre. Le contrôleur est un Kelly alimenté par 48 cellules de batteries (16S3P). Ces batteries Li-Fe ont une tensionde 51,2V nominal et une capacité de 3kWh. L'appareil contient assez d'énergie pour effectuer 12 minutes de vol à pleine puissance, soit une vaingtainede minute en vol économique.
L'instrumentation de l'appareil - une nouveauté par raport à la Demoichellec - a été développée par les étudiants de l'IUT. Elle permet d'afficher la vitesse, l'altitude, le régime moteur, la tension batterie et le courant et fait même office de Flight Data Recorder en enregistrant toutes ces données qui peuvent ensuite être analysées.
Après ces premiers essais, le Pulmchellec va se lancer dans de nouveaux vols plus longs, et recueillera certainement des données fort intéressantes
grâce à son enregistreur.
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Reportage de France 3 : Carnet de Vol
Ils sont aujourd’hui entre 3000 et 4000 à travers toute la France à travailler seul ou en groupe sur ces avions de « construction amateur ». épaulés par une fédération : le RSA, le Réseau du Sport de l’Air, ces fondus d’aviation ne sont pas tous ingénieurs ou mécaniciens, bien au contraire.
Nous irons tout d’abord à la rencontre des membres de l’ARSAM, une association de constructeurs amateurs basée sur le terrain d’Etampes en région parisienne. Ils nous expliqueront en quoi consiste la construction amateur. Nous poursuivrons notre découverte aux côtés d’un jeune ingénieur aéronautique, qui a construit, alors qu’il était lycéen, un « Pouchel », un avion très simple à base de tubes métalliques, qui s’inspire des appareils des débuts de l’aviation. Et nous verrons que d’autres étudiants, de l’IUT de Chartres, sont en train de construire un avion de la même famille, une « Demoichelle ». Cet avion sera propulsé par un moteur électrique qu’ils mettent au point, et qui pourrait révolutionner l’aviation de loisir.
Nous irons à Brest, à la rencontre de Serge Pennec qui a créé un avion de toute pièce et dont il distribue aujourd’hui les plans. Particularité : le moteur est un moteur diesel de voiture. Nous testerons l’avion en vol, et nous verrons qu’il est aujourd’hui l’un des engins à moteur les plus économique du monde.
Enfin nous terminerons chez Dominique, ancien pilote de chasse, passionné de mécanique, qui entame la construction de son deuxième avion entièrement métallique. Il nous montrera sa première réalisation : un cri-cri, minuscule avion monoplace, qu’il a équipé de réacteurs pour lui permettre de retrouver les sensations du vol à grande vitesse. également au programme de ce numéro une rencontre émouvante avec deux personnes handicapées. L’une après un accident d’avion qui a décidé de continuer, par passion, à pratiquer le pilotage. L’autre après un accident de voiture et qui va s’arracher de la terre en faisant sont premier saut en chute libre. Nous découvrirons également une activité amusante : d’anciens pilotes de chasses font partager au grand public les sensations des combats aériens d’antans, grâce à des ulms.
Reportage complet sur : www.france3.fr
Reportage de l'Echo Républicain
L'Institut universitaire de technologie (IUT) était représenté. Il a exposé le simulateur de vol développé en partenariat avec l'aéro-club de Chartres dans la cellule de leur ancien avion-école. "Trois générations d'étudiants ont travaillé sur ce projet. Il y a deux ans qu'il fonctionne. On l'améliore chaque année", confie Bruno Sohier, professeur à l'IUT. "Cette année, les étudiants ont ajouté de nouvelles commandes et trois écrans intérieurs. Auparavant c'était un vidéo projecteur".
L'ULM électrique a aussi été présenté. Il a été réalisé dans un hangar de l'aéro-club, par une douzaine d'étudiants de l'IUT, majoritairement sur leur temps libre (la construction a commencé il y a un an). Il est motorisé par un moteur électrique de nouvelle génération (Moteur Brushless) et des batteries Lithium-Polymère.
"On a acheté les plans à un ingénieur français, Daniel Dalby, qui est venu donner quelques conseils. Les premiers essais de roulage devraient avoir lieu prochainement, avant le départ des étudiants. Tous ces projets motivent beaucoup les jeunes".
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Reportage de l'Echo Républicain
Premiers tests de roulage dans les jours à venir, premier vol d’ici un mois.
Le projet de construction d’ULM électrique à l’IUT est sur le point d’aboutir. L'envol est pour bientôt. "Dans un mois, environ", selon le professeur Bruno Sohier, l'ultra léger motorisé (ULM) électrique construit par des élèves de l'Institut universitaire de technologie (IUT) de Chartres, décollera pour la première fois.
La fixation du bac à batterie est terminée. Il ne reste plus que les derniers assemblages. Les six élèves impliqués dans le projet, se rendent le soir, après leur journée de stage, à l'Aéro-Club de Chartres, accompagnés de leur professeur et porteur du projet, Bruno Sohier. "Dans une semaine ou deux", selon ce dernier, "ils pourront procéder aux tests de roulage et aux premiers sauts de puce »
Six étudiants, Thomas, 20 ans, fait partie des six étudiants qui travaillent depuis un an maintenant à la conception et à la construction de l'ULM. Il a passé son brevet de pilotage, qui lui "permet de voler jusqu'à trente kilomètres autour de l'aérodrome". Mais cet apprenti pilote doit passer un autre examen pour pouvoir tenir les manettes de navigation de l'ULM. Ce qu'il compte faire.
A-t-il peur de piloter cet avion construit de toutes pièces par lui, ses camarades et son professeur ? "Il y a toujours une part de stress, oui. Mais d'un autre côté, on fait plus confiance à ceux qui l'ont construit parce qu'ils sont particulièrement impliqués dans ce projet", explique le jeune homme.
L'engin, à moteur électrique, donc écologique et beaucoup plus silencieux qu'un modèle utilisant un moteur thermique, est le deuxième de France à reprendre ce concept. "On est super-fiers", partage Thomas. "Surtout depuis que ça prend une tournure vraiment concrète. On est particulièrement heureux de voir qu'un projet qu'on s'attache à construire de nos mains prend progressivement forme."
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Reportage de l'Echo Républicain
Reportage de l'Echo Républicain